La lutte contre la pauvreté est une priorité

Le Parti socialiste vaudois prend acte du lancement ce jour du référendum contre les prestations complémentaires pour les familles et la rente-pont AVS par les milieux patronaux les plus nantis du Canton de Vaud.

A l’exact opposé des référendaires, le Parti socialiste vaudois soutient la stratégie de lutte contre la pauvreté adoptée par le Conseil d’Etat et le Grand Conseil. Elle permet de sortir de l’assistance publique de nombreuses familles (dont beaucoup monoparentales) qui sont insérées sur le marché du travail mais dont le niveau de salaire est insuffisant pour vivre décemment. Alors que notre pays n’a jamais compté autant de personnes de 56 à 64 ans à l’aide sociale, l’introduction d’une rente-pont pour les salarié-e-s exclu-e-s du marché du travail arrive à point nommé. Le PS salue la couverture d’un risque de pauvreté qui est devenu de plus en plus courant à certains épisodes de la vie (charges parentales et fin de carrière professionnelle).

PC FamillesAvec ce projet, ce sont 20% des familles de salarié-e-s et 10% des ménages qui sortiraient d’un régime d’aide inadapté pour eux. C’est un avantage non seulement pour les personnes concernées mais pour l’ensemble de la collectivité car le régime actuel est coûteux en frais administratifs et pèse de plus en plus lourd sur les finances de nos communes. Ce dispositif est rendu possible grâce à un financement équilibré qui crée une solidarité entre Etat, salarié-e-s et patrons dans la lutte contre la pauvreté.

Le PSV est indigné par le fait que les milieux patronaux vaudois relèguent entièrement la responsabilité de la pauvreté à des facteurs privés tels que les divorces et séparations. Le simple fait que les milieux aisés, ne soient pas touchés par la pauvreté en cas de divorce et séparation invalide purement et simplement le propos des représentants patronaux. Le PSV regrette que ce comité référendaire cherche à torpiller un projet de lutte contre la pauvreté tout en étant incapable de formuler une quelconque contre-proposition alors qu’ils jugent la situation préoccupante. Il prend également acte que les présidentes du parti libéral-radical siègent dans le comité référendaire et lâchent le Conseil d’Etat sur ce dossier. Il suivra avec intérêt le débat interne à cette formation politique au moment de se prononcer sur le fond de ces projets.

Le Parti socialiste vaudois prend acte du lancement ce jour du référendum contre les prestations complémentaires pour les familles et la rente-pont AVS par les milieux patronaux les plus nantis du Canton de Vaud.

A l’exact opposé des référendaires, le Parti socialiste vaudois soutient la stratégie de lutte contre la pauvreté adoptée par le Conseil d’Etat et le Grand Conseil. Elle permet de sortir de l’assistance publique de nombreuses familles (dont beaucoup monoparentales) qui sont insérées sur le marché du travail mais dont le niveau de salaire est insuffisant pour vivre décemment. Alors que notre pays n’a jamais compté autant de personnes de 56 à 64 ans à l’aide sociale, l’introduction d’une rente-pont pour les salarié-e-s exclu-e-s du marché du travail arrive à point nommé. Le PS salue la couverture d’un risque de pauvreté qui est devenu de plus en plus courant à certains épisodes de la vie (charges parentales et fin de carrière professionnelle).

Avec ce projet, ce sont 20% des familles de salarié-e-s et 10% des ménages qui sortiraient d’un régime d’aide inadapté pour eux. C’est un avantage non seulement pour les personnes concernées mais pour l’ensemble de la collectivité car le régime actuel est coûteux en frais administratifs et pèse de plus en plus lourd sur les finances de nos communes. Ce dispositif est rendu possible grâce à un financement équilibré qui crée une solidarité entre Etat, salarié-e-s et patrons dans la lutte contre la pauvreté.

Le PSV est indigné par le fait que les milieux patronaux vaudois relèguent entièrement la responsabilité de la pauvreté à des facteurs privés tels que les divorces et séparations. Le simple fait que les milieux aisés, ne soient pas touchés par la pauvreté en cas de divorce et séparation invalide purement et simplement le propos des représentants patronaux. Le PSV regrette que ce comité référendaire cherche à torpiller un projet de lutte contre la pauvreté tout en étant incapable de formuler une quelconque contre-proposition alors qu’ils jugent la situation préoccupante. Il prend également acte que les présidentes du parti libéral-radical siègent dans le comité référendaire et lâchent le Conseil d’Etat sur ce dossier. Il suivra avec intérêt le débat interne à cette formation politique au moment de se prononcer sur le fond de ces projets.

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